$ 0 0 Focus« Sous nos yeux »François Hollande se révèlepar Thierry Meyssan Damas (Syrie) | L’opinion publique française a accueilli avec scepticisme la nomination d’un nouveau gouvernement après la défaite électorale des socialistes aux élections municipales. Elle accepte avec résignation les réformes annoncées dans l’intérêt économique général. En réalité, observe Thierry Meyssan, le changement de gouvernement n’a rien à voir ni avec l’échec économique, ni avec l’occasion présentée par cette défaite électorale, mais reproduit un exemple historique permettant au président Hollande de révéler progressivement ses choix politiques personnels. De même la réforme territoriale, telle qu’envisagée, n’a rien à voir avec des économies budgétaires, mais avec le projet de liquidation de la République française. Pas de paix durable à Chypre sans renonciation à l’hégémonie turquepar Marios L. Evriviades Athènes (Grèce) | Aujourd’hui, les responsables de l’Otan prêchent à tout-va le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de l’Ukraine pour mieux fustiger la Russie. Ils oublient bizarrement les vertus de ces beaux principes dès lors qu’on évoque la situation de Chypre et le bienfondé de l’État chypriote à vouloir bénéficier des mêmes droits. Ils n’ont pas le moindre mot pour blâmer la Turquie pourtant comptable de l’occupation militaire de la moitié nord de l’île depuis 1974. Le professeur Marios Evriviades réexamine le plan mis en œuvre par Ankara et analyse les causes de son fiasco. « Sous nos yeux »Le bilan de Lakhdar Brahimipar Thierry Meyssan Damas (Syrie) | Après l’échec de la conférence de paix de Genève 2, l’envoyé spécial des secrétaires généraux de l’Onu et de la Ligue arabe, Lakhdar Brahimi, s’est gardé de fixer la date d’une nouvelle rencontre. Il s’est répandu en accusations contre la Syrie qu’il a rendue responsable de la guerre dont elle est victime. Pour Thierry Meyssan, M. Brahimi était non seulement juge et partie, mais son mandat était d’infliger à la Syrie ce qu’il avait fait endurer à son propre pays : la guerre. En bref John Kerry parle aux oreilles de votre journal Le Premier ministre libyen démissionne avant de former un gouvernement L’administrateur de l’USAID ignore qui dépense l’argent du contribuable Nouveau document sur l’assassinat de Dag Hammarskjöld McDonald’s ferme ses restaurants en Crimée Le Conseil de sécurité refuse de condamner l’attaque turco-terroriste de Kassab Controverses« L’art de la guerre »La dépense militaire revient à la Guerre froidepar Manlio Dinucci Rome (Italie) | Les États-Unis ne sont plus les maîtres du monde, assurant sa sécurité et imposant leur loi. Par conséquent, chaque État est désormais contraint d’assurer lui-même sa sécurité, comme à l’époque de la Guerre froide. Bien que les situations géopolitiques soient nettement différentes, les dépenses militaires sont semblables. Fil diplomatique Résolution 1990 (2014) du Conseil de l’Europe suspendant la Russie Déclaration de politique générale du Gouvernement Valls Veille documentaire Faut-il protéger les chiites en Indonésie ? Difficile succession parmi les Saoud « Horizons et débats », 14e année, n° 08, 14 avril 2014Non à la disparition des médecins de famillePartenaires, 14 avril 2014 « Tendances de l’Orient »Les cauchemars des ennemis de la Syriepar Pierre Khalaf, Partenaires, 14 avril 2014 « Tendances de l’Orient »Samir Geagea perd encore une fois son paripar Ghaleb Kandil, Partenaires, 7 avril 2014